Profil Joueur

Cairn

Apparence

Description physique générale

Cairn est un joli spécimen de ce que peut donner le mélange de 2 races. Elancé, fin, alerte et agile. Il dégage une impression de sérénité et de plénitude assez étonnante pour quelqu'un de son âge. Son allure rassurante et son charisme naturel calme la plupart !

Corps et visage

Visage émacié, aux traits fins et acérés. Ses yeux noirs légèrement bridés vous transperce. Le front haut et dégagé. La chevelure noire corbeau est portée longue en une sorte de queue de cheval portée haut sur la tête dégageant ses longues oreilles, témoignage de ses origines mêlées. Il porte une belle moustache fine, une barbe taillée en collier fin. Ses sourcils sont interminables et moyennement épais, surlignant encore plus la profondeur de son regard.

Signes distinctifs

Une marque de naissance sous son bras gauche à hauteur de son cœur. Son Père lui a toujours dit de la cacher à qui que ce soi. Elle représente une sorte de dessin comme une calligraphie miniature une enseigne. 

Sur son dos, le long de sa colonne vertébrale est tatoué 4 hiéroglyphes Tiannais distincts. (Dans l’ordre du haut vers le bas :)

=> (la bienveillance, la charité et l’humanité),

=> (lhonnêteté et la droiture),

=> (la connaissance),

=> (la Fidélité et lintégrité).

Tenue et accessoires

Vêtu de vêtements de prix en soie fine du plus pur style Tian Xia (genre kimono de guerrier de ces contrées). Dans sa ceinture est passé ce qui ressemble à un morceau de bois ouvragé, mais qui n'est en fait que le manche d'une dague qui se fond dans son fourreau de même aspect. Un sac de cuir complète le tout, naturellement. Il n'a pas l'air bien épais, ses possessions restant modestes.

Personnalité

Caractère

Calme, posé, CAIRN Feng Kimura a parfois des flammèches dans les yeux quand son caractère change brutalement. 

Quelque soit les tours que la vie lui réserve, il garde un visage de marbre, toujours avec cet impression de zénitude non violente qui peuvent caractériser certains moines de la lointaine Tian Xia.

Ceux qui le connaissent plus savent qu'il ne faut pas s'y fier, sous la surface apparemment calme du lac sommeille une puissance dévastatrice mystérieuse.

Parfois, il s'autorise à se laisser aller un peu. A ces moments là, se révèle un être chaleureux et aimant par dessus tout la vie et ses amis.

Motivation

Arrivée depuis peu dans la contrée, CAIRN cherche un lieu où poser ces affaires quelques temps. Originaire du milieux mercenaire, quoi de plus simple et de naturel pour lui de rejoindre une compagnie mercenaire. Ce milieux à  toujours été sa seule famille et il ne s'en plains pas ! Quelque soit les compagnies qu'il a fréquenté tout au long de sa courte existence.

Il restera tant qu'il s'y plaira, puis reprendra la route vers ailleurs, où ses pas le guiderons.

Une seule chose l'intrigue et lui laisse une blessure béante en son âme, ses parents. Qui sont ils ? d'où viennent ils ? Sont ils encore de ce monde ? Saura il vraiment la vérité sur eux, un jour ? 

Il n'hésitera jamais à essayer de retrouver ses origines pour comprendre son avenir. Mais il a toute la vie devant lui, alors, une chose à la fois !

Relations

Doux, calme, poli, il ne laisse pas apparaître ses émotions, reste diplomate en tout lieux et circonstances. 

Fidèle en amitié et vengeur envers ceux qui lui font du tord. 

Protecteur avec ceux qu'ils considère comme sa famille.

Histoire

Origine

Sa mère serait une Elfe. C'est tout ce dont il se doute en constatant l'aspect physique de son corps (oreilles, stature, vision, …)

Son père est originaire de Tian Xia. Son nom était Okirori Kimura. Fin tacticien et sabreur, il suivait les préceptes de la Déesse Shizuru. Son surnom : « Le Négociateur de Seseragi ". Il faisait partie d'un groupe de mercenaire œuvrant en bordure Ouest du territoire Tiannais dans le royaume du Lingsheng. La plupart de leurs contrats étaient financés par le Royaume du Jinin voulant limiter les velléités expansionnistes et impérialistes de leur voisin sur la Mer des Anguilles. Selon les rumeurs, il serait un fils d’une maison noble Tian Xia. Il n'en a jamais vraiment parlé, seul dans son exil loin de ses terres. Mais son allure et son port altier ne faisait aucun doute parmi les mercenaires qui le respectaient.

Ils se seraient rencontrés par hasard, sans plus de détails. Rencontre épique, ou fruit du hasard ! Peut-être que cette rencontre fut un vrai coup de foudre mutuel ? En ces temps troublés, le bonheur se prend là où il se présente, rapidement, sans se poser trop de question quand la mort rode. Ou peut-être la vérité est-elle toute autre ?

Cairn Feng n'a pas connu sa mère ou du moins n'en a pas souvenir. (Un flash très lointain lui montre un visage d'ange auréolé de flammes !) Par respect envers cette inconnue, il fait une prière chaque matin en direction du sud, rituel appris et pratiqué avec son père.

La seule chose dont il se souvient, ce sont les champs de batailles et les campements de fortunes, de la vie itinérante du groupe. La vie était dure mais juste, tout le monde avait sa tâche, et c'était bien ! Aux adultes les combats, aux enfants le quête de nourriture ou pour les plus dégourdis, la mission d'aide aux blessés. Formé par l'apothicaire de la compagnie, il se rendit suffisamment indispensable dans cette tâche ce qui rendit son père fier de lui.

Les années passèrent, heureuses avec l'amour de son père qui faisait tout ce qu'il pouvait pour lui faire oublier l'absence de sa mère. Père d’ailleurs, très à cheval sur son éducation. Cairn Feng n’eut de cesse que d’apprendre la bienséance, la tradition, les bonnes mœurs, comment s’adresser au gens, effectuer quelques petits rituels d’apparence anodins mais au combien attaché à la culture Tian-Xia. Ne comprenant pas le but de cette éducation, Cairn Feng s’y soumis par respect pour son père, sans grande conviction, après tout, ce genre de cérémonial n’est pas trop adapté aux campements mercenaires !

Puis, d'un seul coup, le Père qu'il aimait et respectait tant, disparu. Non pas emporté par la rodeuse lors d'une bataille, mais sans aucunes explications, sans avertissement, là, d'un seul coup ! Le seul indice précurseur fût certainement la venue de ce petit groupe de combattants venant du Royaume du Jinin. Après cette visite de courte durée, son père paraissait préoccupé. Il ne voulut jamais s'en ouvrir à son fils. Il se contentait de manipuler son collier ou était accroché 2 médaillons, un pendentif de jade vert et une médaille en cuivre gravé, l’esprit dans le vague ou dans ses souvenirs. Et puis un matin, il était finalement parti.

Il ne put obtenir que peu d'informations sur ce départ auprès de la compagnie. Que son père était un noble en exil, spoiler de ses terres. Que les sang-mêlées ne devrait pas s'occuper de ces choses, il n'y avait que du malheur à récolter, que son avenir et sa vraie famille était avec la compagnie, que sa présence serait peut-être une tâche là où il était parti maintenant et que s'il voulait toujours l'honorer, il fallait mieux continuer à vivre et prendre son envol, ce genre de choses. Son insistance finit tout de même par lui obtenir les seuls indices qu'il aurait à ruminer toutes ces années :"Minkai", "Higashita" et « Tomoko » et une pièce en pendentif. Une sorte de médaille en cuivre attachée au bout d’une lanière de cuir toute simple. Cette médaille représentait une sorte d’oiseau gravé au plumes bizarres ! C’était une partie de celui de son père.

Les années qui passèrent furent dures, les conflits s'intensifiant dans leur secteur, ils durent partir plus à l’ouest dans les royaumes barbares bordant les Montagnes du Ciel en direction de la ville de Goka. L'argent coulait à flot, mais les batailles étaient aussi très fréquentes et sanglantes. CAIRN Feng toujours à soigner les blessés et à assister les mourants sur le terrain. Toute cette horreur, tout ce macabre, cette peine qu'il ressentait commençait à le travailler de plus en plus.  Finalement, écœuré par toutes ces choses, il prie le parti de fuir loin de tout cela. N'importe où vers des contrées plus paisibles.

C'est à cette période qu'il commença à ressentir de drôles d'impression dans son corps, au creux de son ventre et de son âme. Un sentiment de malaise, une douleur parfois, une angoisse tout le temps. Quelque chose qui ne demandait qu'à sortir. Il constata qu'il se réveillait, parfois, après une nuit aux rêves agités, enflammés, torrides, avec son couchage brulé, abimé sans aucune explication.

Honteux, il cacha ces phénomènes, craignant la réaction des gens chez qui, il trouvait un hébergement temporaire. Il savait pour l'avoir déjà constaté, que ce genre d'événement pouvait mener au bucher dans ces contrées un peu arriérées.

Il s’embarqua clandestinement sur un navire en partance vers l’ouest et se retrouva sur le continent en CASMARON. De ce point, il chemina toujours plus vers l’ouest sans se retourner.

Sa chance fut de rencontrer, à un détour de chemin montagneux, un être exceptionnel. Cet homme, ce bonze ou ce moine suivant comment on appelle ces saints ermites, le pris sous son aile protectrice pour un temps. Ce saint homme avait perçu de suite, l'âme perturbée de l'enfant perdu. Il s'appelait " Luang Pho Maha Boowa". Etrangement, il témoignait un profond respect à l’enfant. Bien au-delà de ce qu’il aurait dû recevoir, pensait le jeune Cairn. Et cela s’accentua encore à la vue de la marque de naissance de Cairn.

Pendant de longues années, ils discutèrent, mangèrent ensemble. Petit à petit, la sérénité de ses enseignements finit par calmer CAIRN de ses peurs. Des mots avaient été mis sur son désarroi profond. Les enseignements de la philosophie de l'ermite portaient leurs fruits. Il pouvait maintenant s'accepter comme il était, avec cette force en lui. Un autre travail commença donc, sur plusieurs années, pour débuter la maîtrise et l'utilisation de ses pouvoirs. Lors d’un rituel, le moine lui tatoua les 5 vertus qui lui correspondaient le mieux sur le haut du dos : Sagesse, Bienséance, Bienveillance, Droiture et Fidélité.

Puis un jour, le saint homme, estimant que sa tâche était accomplie, fit ses adieux à CAIRN Feng et sortit de sa vie, tout simplement. Cette fois-ci, CAIRN Feng accepta cet état de fait et repris son chemin le cœur léger.

Ravelien

Arrivé dans la Varisie, son chemin le conduisit vers cette grande ville de liberté qu'est Port-Enigme. Là, cherchant un lieu où se poser, il entendit parler de la Compagnie Ravélienne et des exploits qui lui étaient attribués. 

Une compagnie de mercenaire, qui plus est, célèbre et compétente, voila de quoi le séduire. Il trouva son chemin vers le Refuge à la recherche d'un nouveau toit et d'une nouvelle famille.

Notes d'aventurier

But primordial de sa vie => retrouver des informations sur sa mère et son père. Les retrouver s'ils sont encore vivant.

Card image
Race
Human
Genre
Masculin
Lieu de Naissance
inconnu (un champ de bataille quelconque)
Taille
172
Poids
57
Peau
Légèrement Halée
Cheveux
Noir corbeau
Yeux
Noir corbeau