Rapport de mission à Bosco avec les membres suivants :
- Beatrix
- Eiriel
- Sarethil Nyrilas
- Sullivan
- Ulfgar
Arrivés à Bosco pour un problème de disparitions de bétails, nous discutons avec notre commanditaire le fossoyeur. Il nous explique que le témoin, un bucheron nommé Bernard, de ces disparitions et de mélodies inquiétantes dans la forêt, semble peu bavard, mais disposé à nous montrer les lieux où il aurait vu un cercle d'ossement. Après inspection des os, nous confirmons que ces derniers sont issus de divers animaux, dont le bétail paysan. La nature du cercle est toujours inconnue, notre prêtre soulève cependant une piste selon laquelle ce serait une tentative d'invocation de démon. En continuant notre chemin dans la forêt, nous tombons sur les ruines d'une très vieille civilisation inconnue. Certains endroits de ces restes d'architecture ont un écho étrange de voix d'esprits, mais malheureusement peu compréhensible. Une petite créature (plus tard identifiée comme un Pusk, un démon de la paresse) nous épiait et s'est de suite enfuit dans un puits quand elle comprit qu'aucun de nous ne parlait sa langue.
Le bucheron dit qu'il prend des nouvelles du meunier de temps en temps car il séjourne profondément dans la forêt. Il s'inquiète un peu au vu des évènements terribles qui se sont produit à Bosco. Nous nous dirigeons donc vers le moulin, proche des mélodies inquiétantes entendue par Bernard. Près du moulin, une niche de chien à première vue vide malgré des aboiements à proximités. Nous entrons dans le bâtiment suite au silence du locataire et malgré nos questions, ce dernier semble répondre par des phrases préfètes. Ulfgar, impatient face au mutisme du meunier, abat sa hache sur son crâne, le tuant sur le coup à notre plus grand regret. Nous enquêtons dans le moulin et trouvons un papier écrit en shadow tongue, après lecture, il s'agit d'une liste d'ingrédients peu communs comme de la poudre d'os en très grande quantité et autres choses pour une sorte de rituel. Là aussi, nous entendons des bruits de pas et de machineries malgré l'absence évidente d'individu et le moulin à l'arrêt visuellement.
En sortant du moulin, nous avions changé de plan, à notre plus grande terreur nous étions dans le plan des ombres. C'est en retournant dans le moulin que nous tombons nez à nez avec des créatures mort-vivantes en plein travail avec des sacs remplit dans les mains. Une drow était également présente et semblait loin d'être coopérative, ne répondant qu'en shadow tongue. Elle s'enfuit dehors, plus précisément dans la niche à chien, là où est sa place. Nous la poursuivons et affrontons ses sbires un à un, dont des chiens morts-vivants noyés, ceux que nous avons entendus plus tôt. La niche était un passage déguisé, un tunnel nous emmenant vers un laboratoire étrange plongé dans le noir total. Nous entendons une conversation en shadow tongue toujours, entre la drow et peut-être son commanditaire, une dispute comme quoi elle aurait mené des ennemis dans l'antre. Un bruit de craquement d'os met fin à la discussion et à la vie de cette elfe. À notre arrivée, le cadavre de notre cible étalé devant un homme masqué et une fée des crânes. Beatrix, Sarethil et Ulfgar demande simplement le corps de la drow pour notre mission, ne voulant pas fouiner plus ni combattre l'individu dangereux. Ce dernier accepte et les trois ravéliens remontent avec le butin. L'homme mystère ordonne en necril à la fée de "ne surtout pas les laisser s'en sortir vivant", misant sur le fait que nous ne parlions probablement pas cette langue (à tord). Le prêtre, dans sa très grande naïveté, pose une question invasive qui ne plait pas du tout. L'inconnu envoie des fioles contenant ses créations morbides qui coucha le plus curieux et me blessa gravement. La fée, elle, poursuit le trio à la surface. Nous triomphons de la fée et le trio décide de rentrer à Absalom pour chercher de l'aide. Étant donné que le passage entre Golarion et le plan des ombres n'est pas évident, je reste à l'entrée du tunnel, espérant un signe de vie du prêtre. Après plusieurs heures, il ressort au bort de la mort et je l'aide à revenir sur le plan de la réalité et rentrons tous deux à Absalom.
*Le rapport est signé par Sullivan.*