Liste des rapports Une véritable reconnaissance de terrain et non un galop d'essai

Rapport : Une véritable reconnaissance de terrain et non un galop d'essai

ND 10 Une véritable reconnaissance de terrain et non un galop d'essai 

  • Monde : Golarion
  • Date : Jeudi 05/05/2022 19:15 
  • Joueurs : 5/5
  • MJ : J'rome

Synopsis 

Suite de l'arc de Gozreh et donc suite directe de la quête : " Le poids des plumes ". Lecture du rapport indispensable. Voir également  la quête "De bien beaux étalons".

Le corps de Tchuz repose désormais à la morgue du Refuge, ramené par Zakariel. Dépossédé de son armure qui entremêlait métal et végétal, le fier disciple de Gozreh n'est rien de plus qu'un Iruxi froid.

Zakariel cherchait à faire parler l'esprit de Tchuz une dernière fois. Lui faire avouer l'emplacement de son mentor pourrait sauver des milliers de vies. En effet, durant leur dernier voyage en compagnie des Ravéliens, Yit, Tchuz et Edelweiss s'en sont pris à Tlallocoatl. L'aile sectionnée de ce coatl est couverte de plumes aux propriétés magiques. Notamment la capacité de faire jaillir de la terre instantanément un chêne majestueux.

Ce pouvoir, démultiplié par l'artefact qu'Edelweyss aurait dérobé, pourrait bien ravager des villes entières. Heureusement il vous reste du temps. Tlallocoatl a estimé qu'il faudrait des semaines entières voir des mois avant de maitriser une telle magie. De plus, cela requiert des étendues forestières à l'abri des regards indiscrets. Le Dernier Rempart, lieu de votre première expédition en compagnie de ces radicaux de Gozreh semble désormais tout indiqué.

Alors que vous vous apprêtez à mener une expédition de reconnaissance afin de localiser Edelweyss, un étrange oiseau au ramage couleur de désespoir vous rend visite au Refuge...

Joueurs inscrits

Joueurs acceptés

Yaris, l'arpenteur silencieux (bottlefish)Rogue (8)

Valira (Uniwars)Fighter (11)Uzu Inazuma (Freeberserk)Monk (12)

Asabrag Odinson (Polossius)Barbarian (10)Kariwa'ase (Hivers Blancs)Ranger (10)

Rapport :

Après un démarrage poussif dans la cave du refuge et l'arrivée d'un Psychopompe sous forme de corbeau venu à notre aide suite à l'intervention (RP) de Zakariel, psychopompe bien disposé car ayant approuvé la cérémonie funéraire faite au champion renégat de la nature.

Voyage vers la contrée du Bois Vorace. 

Nous remontons le cours du fleuve sur les suggestions du "Corbeau". Débarquons au sud du Bois Vorace, dans les marécages afin d'éviter les plaines avec leur lot toujours renouvelé de revenants.

Une rencontre fortuite avec un autochtone, méfiant et accusateur, qui, finalement se sauve vers la foret. Nous décidâmes de passer la nuit dans les ruine du village non loin. 

Certaines maisons recèlent des manifestations nécromantiques, des pièges, des fantômes ou esprits tourmentés. 

Nous libérons un chien prisonnier d'une cahute. Que fait encore cette créature vivante ici ?

Ce village est bizarre ! Les murs des maisons semblent changer de place ! Bientôt, nous avons le fin mot de l'histoire, des abominations, genre d'agglomérats de maisons, de membres, de créatures s'animent autour de nous. Des Charigols pour 2 d'entre eux. Autre chose pour la troisième. Elles engagent le combat avec tout leurs moyens aussi horribles que variés. 

Mais, même en difficulté, nous sommes de la trempe des héros, et, petit à petit, nous renversons la tendance et prenons l'avantage. A grand renforts de Kaméa-méa du moine, d'éclair électriques du barbare, de boule de feu du rogue, et de tous les autres moyens à notre disposition, la victoire est à nous.

Le chien profite de ce moment pour nous dévoiler sa vrai nature ! C'est un Archon coincé ici ! Il nous propose son aide quand nous lui expliquons la nature de notre venue et le danger représenté par ce druide Edeilweiss.

Kariwa soulage et permet aux esprit torturés de partir en paix après les avoir calmé.

Après une nuit amplement mérité dans ces ruines assagies, nous découvrons au petit matin que le druide est bien dans les parages, en effet, un gigantesques arbre dépasse du Bois Vorace. Il n'est pas encore assez grand pour ce qu'il veut faire, mais il prouve que le renégat est bien présent dans cette contrée pour y faire ses réglages de rituel. 

Mission de reconnaissance accomplie, nous repartons grâce à l'Archon qui nous téléporte à Port Enigme.

Constatation évidente : La puissance de ce druide n'est pas à sous-estimée. Nous pensons tous ne pas être taillé pour le contrer actuellement. Mais si on arrive à lui voler l'artefact, sa puissance de dévastation en sera très amoindrit.

Fin du rapport.

Signé : Yaris, Arpenteur Silencieux

L'écriture change, introduisant un nouveau narrateur.

Afin de rétablir la vérité je me permets d'ajouter quelques précisions à ce rapport :
Le "démarrage poussif" était principalement dû à la moitié du groupe qui se faisait dans le froc à l'idée d'affronter le druide et voulait faire des plans rivalisant de complexité alors qu'il suffisait de se rendre sur place.

L'autochtone "méfiant et accusateur" l'était car des membres de notre groupe avaient volé des chevaux à son village, entrainant la mort de civils qui n'ont pas pu fuir sans monture. L'excuse que les chevaux étaient faiblards et qu'il fallait bien sauver les chevaux aura été avancée. C'est quand ils lui ont dit que ses chevaux pourraient se reproduire et reformer un troupeau maintenant que son village était tombé que notre interlocuteur a préféré prendre congé.

Une fois au village, pendant que certains se spécialisaient dans le funambulisme et l'escalade, Asabrag et moi avons contourné les barricades pour entrer. J'ai très vite repéré que les maisons étaient piégées, en ait informé les autres, puis ait entendu les jappements terrifié du chien. Je l'ai trouvé et ai désamorcer le piège qui le maintenait prisonnier d'une maison en soulageant l'esprit tourmenté qui hantait ces lieux. J'en aurai fait de même pour le deuxième esprits après le combat si notre homme des bois n'était pas venu faire son rituel de communion avec ses anciens, ou un truc du genre.

Pour ce qui est de la bagarre, ça s'est globalement bien passé. Pendant que les autres montaient un spectacle sons, lumières, roulades et ventilations, je me suis concentrée sur le fait de démonter nos adversaires en jugeant que c'était surement une meilleure option. Après quelques coups bien placés et une intervention pertinente du barbare et du moine c'était plié.

Je précise enfin que l'archon canin nous a indiqué que notre ennemi n'était en réalité pas un druide mais un psychopompe se faisant passé pour un druide.

Signé Valira.